Architecture - Eve- Place Royale Québec
L'annonciation
L'annonication, oeuvre de Louis-Augustin Wolf exécutée en 1765.
Chemin de croix
Le chemin de croix ici est réalisé par le peintre décorateur Émile-Jean Tardivel. Il met de l'avant l'histoire de la ville et de la chapelle.Les gravures sont imprimés à Paris par Turgis fils.
La montée au calvaire
Fait avant 1817. Copie d'une gravure de Grégoire Huret, dessinateur et graveur français.
L'élévation de la croix
L'élévation de la croix fait avant 1817 est une copie du peintre flamand Pierre Paul Rubens.
Un moine en prière
Réalisé par Eugène Hamel. L'original, réalisé par le peintre espagnol Francisco de Zurbaran est gardé au Augustine de l'Hôtel-Dieu de Québec.
La cruxification
Sacré-coeur
Sacré-coeur, sculpté par Louis Jobin en 1877
Saint Joseph
Saint Joseph, sculptée par Louis Jobin en 1877
Notre-Dame-des-Victoires
Sculptée par un artiste anonyme. Le 13 Janvier 1878, l'archvêque bénit trois statues dont celle-ci.
Histoire de Notre-Dame-des-Victoires
Madonna del dito
Mosaïque donnée par le chanoine Fernand Marquis.
Autel
Le gisant représente le Christ sous le Tabernacle de l'autel. Ce dernier est attribué au sculpteur Francois-Noël Levasseur. La datation inconnue se situe autour de 1727 et 1728.Le Tabernacle est ornée du triangle équilatéral, défini par la Sainte-Trinité. Le Dieu est alors divisé en trois personnages; le Père, le Fils et le Saint-Esprit. Les panneaux latéraux du second étage y ont été intégrés afin de représenter l'Archange Gabriel et la Vierge Marie. Le Tabernacle renferme le ciboire, un vase sacré.
Les petits pains de Sainte-Geneviève
Petits pains sans levains bénit par le prêtre.
Historique de l'architecture
Tabernacle du maître-autel
Tabernacle fait par David Ouellet, connu pour ses larges facades. Ce Tabernacle inspiré d'événements historique majeurs est conçu en bois peint et doré par Louis Alméras.
Confessionnal dans le Sacristie de l'église
Confessionnal dans la chapelle Sainte-Geneviève
Le buffet d'Orgue
Cet orgue remplace un Casavant de 1918.
La cruxification
Peinture réalisée d'après l'oeuvre d'Anthony Van Dyck (1599-1641)La fin de la Nouvelle-France
Église Notre-Dame-des-Victoires, 1760.L'année 1768 est consacrée à la restauration de Notre-Dame de Québec dû à l'incendie de 1759.
Francois Baillargé est engagé en 1816 pour refaire la façade complète de l'Église Notre-Dame-des-Victoires
Les travaux se prolongent et les manifestations face à la destruction de la chapelle augmentent. Un projet visant la destruction apparait en 1824.
Édifice délabré et incendié
Église Notre-Dame-des-Victoires, vers 1830.L'incendie de 1854 force à refaire le toit ainsi que l'intérieur pensé par Pierre Séguin. Un jeune architecte , Joseph Ferdinand Peachy livre les plans du nouveau cloché en 1861, un projet en cours depuis 1858.
Des menaces de démolition
Intérieur de l'église Notre-Dame-des-Victoires, vers 1900.Le gouvernement prend le contrôle et décide de mettre en place la loi de "restauration" de Place-Royal en 1967. Suivant ce projet, le bâtiment est entièrement repensé, décapé et mit à jour.
Depuis 1980, des travaux de consolidation sont réalisés pour ensuite procéder au marquage des fondations du corps de l'église en 1990. C'est à ce même moment que l'installation de la nouvelle porte monumental est réalisée.
L’église au XXIe siècle
Église Notre-Dame-des-Victoires, 2008.